L'être de l'atelier

Quid “Les ateliers ouverts“ ?
les impromptues... table ouverte... automne 2019



La formule: «ateliers ouverts», est avant tout une manière renouvelée d'inviter les amis, les amateurs, les collectionneurs, mais aussi les non initiés, parfois les passants. Certes, il y a eu au départ des attendus plus sérieux, par ex : l'idée de désacralisation de ces lieux, parfois rendus mystérieux, innaccessibles, /par les artistes bien souuvent ! Tout est recevable. Aujourd’hui l'expérience étant là, je suis davantage simplificateur. En fait, mes ateliers étaient toujours ouverts, à des proches, à quelques personnes qui voulaient bien voir, et parce que de proximité, ils devinrent des accompagnateurs.Des complices.Des havres de pause, aussi. ( ? ) de pose tout court ! Oh !pas toujours fidèles, heureusement...En fait le problème constant est bien de provoquer la rencontre de l’œuvre faite, avec celui qui pourra l'aimer, la controverser aussi, combien d'inconnus raterons une « belle occasion dormante » dormante pas loin de chez eux… Donc il s'agit d'élargir le cercle, pas plus. La pénurie de galeries dans ce territoire, reflet, méfait, effet de la force centralisatrice des pôles de l'art bien sûr, de l'indigence particulière de ce secteur dans la Région, de l'absence ou faiblesse de l'Enseignement artistique, ou des artistes manquant de courage? La crise de la peinture peut-être ? Pour moi, opinion totalement contestable, la peinture reste vivante ! Les renversements de tendance, phénomène inscrit dans l'Histoire de l'art,voir texte «la fotune critique (essai)/. Avec une belle orchestration mondialiste de l'orientation des choix. / voir les Jeff KOON 'S en rangs serrés! De la crise tout court. L'on pourrait multiplier les causes supposées (?). En contre point il y a un bel engouement pour les grandes expositions, l'événementiel, etc. J'ai des amis, des connaissances qui viennent consulter mon fonds, et qui n'hésitent pas à aller visiter les sites « art contemporain »,l'art brut, le naïf, etc., le public est curieux, il est moins tranché que les « missi dominici » qui optent, eux bien souvent pour l'uniformisation. Cela rassure, mais ce problème ne me prend pas la tête, j'ouvre l'atelier à dates impromptues...pour rompre l'isolement dans ce repli pyrénéen. Rester en confronte, sans laquelle «on connaîtrait un engourdissement certain»/ Voire, une paralysie totale.

Texte de janvier 2019  
2014 et... 5 ans plus tard plus, je conforte cette manière, et tente de lui donner plus de sens. En effet les mobilités de chacun ne sont plus les mêmes. Il est long, laborieux parfois de conclure dans ce nouveau formalisme ambiant. « Montrer pattes blanches dans ces lieux verrouillés, avec ses experts, nouvelles douanes sans guérites..où sont donc les critiques, manquent-ils de moyen de transport, circulent-ils ?...je relis ces lignes et pense que cela va râler dans certains espaces réservés)...Donc j'ai mis en route une proposition d'expositions: «clés en mains», que je me propose d'envoyer à des responsables de lieux, dans lesquels j'ai posé mes œuvres/ depuis mes débuts ( le siècle dernier donc). Mes débuts !....Dans les lieux institutionnels, il y en a eu beaucoup, dans des lieux atypiques, bien sûr les alternatifs, les privés, les éphémères etc. La liste est longue puisque je remonte le temps, depuis ces débuts : 1956/1960..! Cela va m'aider à plusieurs titres. Un- à poursuivre l'inventaire de mon « fond » (le ré activant en extirpant des pièces, quel bonheur de les voir joyeuses en ces courtes sorties inopinées !...Exercice normal de fin de vie! C'est un choix, le mien pour l'instant, me tenir en alerte, une saine « dope » momentanée...!
Cela va m'aider aussi à amorcer l'écriture d'un ouvrage, lui, strictement consacré à mon travail artistique, ouvrage déjà entamé. Contre-point logique à mon autobiographie de parution récente )(« Jaizquibel, villa de guerre, éditions Arcane17, préface de Robrt Guédiguian). Ces expositions à caractère impromptu, ne vont pas perturber la mise en place d'expositions de travaux en cours, avec le type de fonctionnement classique... (je pense à cet opus sur les frontières qui est présentement en jachère, et que je remets en  circulation » pour une possible diffusion). Soyez attentif, j'envisage une participation active pour ce «faire », les conseils sont les bienvenus
Il y a une part ludique dans cette nouvelle manière. Telle une ultime tournée...d'un saltim/banque (!). Revisiter des lieux, c'est aussi revoir des amis, ceux qui ont contribué à accueillir mon grand fatras durant ces nombreuses décennies. Revoir un public, cependant ce n'est pas un «au revoir», nous les plasticiens nous laissons des restes ! AH! la transmission.. !
C'est aussi de pouvoir montrer à ma seule initiative, ou pourquoi pas, à celle de ceux qui fréquentent les ateliers, les armoires, et autres étagères, montrer des éléments d'un ensemble!Cela s'appelle jouer. Puiser dans l'avant »... ! pour fignoler, compléter, biffer parfois. Rien cependant qui s'oppose présentement à mes envies de pratiquer, «d'être encore de l'atelier aux fenêtres ouvertes au monde».Pour l'instant montrer des inédits. Oser les accrochages un peu «dérapant's»!../ voir mes textes récents/

Mars 2019 Dès maintenant : Visite des armoires/près des ateliers, même adresse, consultation possible de dessins, desseins inventoriés... (petits formats), et plaisir de la rencontre. Tèl : 06 85 22 96 38. On vient avec des amis..
.suite mars 2019 : Semaine de L'autisme, j'ai été sollicité pour assurer le parrainage d'une « Exposition artistes autistes et différents » à Lannemezan, du 25 au 30 mars 2019. /http://autisme-pyrénees.com/forum-autisme-pyrénées, Il était prévu que je présente quelques sculptures/papiers, C'EST CONFIRMÊ... Si bien confirmé que j'ai proposé à L'Ass. de leur céder la sculpture, réalisée durant ces journées, elle est en finition, la rendre pérenne est mon souci du moment. Je me suis exprimé sur cette pièce, nous y reviendrons sûrement. Elle est visible dans le parc dès à présent.

Mai 2019 : début de la mise en place d'expositions «dites impromptues » qui ont fait suite à ces propositions d'expositions «clé en mains »....

Juin-juillet 2019 : Remake de l’exposition présentée en 2001 au prétoire, à Lannemezan  « L'incendie du musée d'art moderne », des grandes toiles avec des inédits. Dont 20 dessins : (120x80 cms.) qui étaient inachevés depuis plus de 30 ans. Et décision d'aller au bout de cette proposition, achever, parfaire une série de12, un petit plaisir, sorte de sucre d'orge...c'est l'intérêt de pouvoir disposer de la liberté de compléter à son envie du moment, un ensemble 25/30 ans après! Série au titre générique 'bonjour Mr. KANDINSKY !, c'est mieux « qu'HOMMAGE !, aux mages....! Mais aussi mes «amers d'Adour » et corps mêlés aux bois flottés, usés au torrent. Et ces 8 acryliques, faites de corps noués aux troncs abattus ( tronc d'arbre, comme de bien entendu ! ( voir texte de Roseline Giusti). Il y a eu aussi ces sculptures présentées une fois à la Galerie Percorsi d'Arte à Venise : « racines d'éros »/ anecdote :.... cette galerie se trouvait Piazza Maurizio, là où avait vécu Baffo, / voir éd.Zulma..) j’ai eu plus envie d'illustrer les textes de ce « Doge », contemporain de Casanova, quand je sus cette position géographique, j'ai eu plus de plaisir de cette co-habitation virtuelle fortuite, que le prix Casanova que me refilèrent des poètes vénitiens... affaire à suivre, si un éditeur en veut! J'en suis partant. Ce fut donc une première sortie en France...à Séméac en banlieue tard baise ! Ce fut une confronte musclée, et assez imposante, tous ces bois rassemblés pour une première fois ! Il y eu aussi le vernissage d'une œuvre monumentale dans les murs de ce lieu que l'on peut visiter désormais. Il y eu ce soir là une belle chambrée, comme il se dit pour les corridas ! À l'invitation de Jean-Louis Caumont architecte/ constructeur, dans les salons de l'Hôtel Ecolo/logis, espace Bellevue à SEMEAC. Documents à paraître sur le blog ultérieurement. L'ensemble des œuvres exposées sont visibles dans les ateliers à Pouzac.
Mais aussi : dans ce même espace, une exposition fondée sur l'idée de la «récurrence », dans mes thèmes ! (divers textes à ce sujet sur mon blog...) et en l’occurrence : j'y ai présenté, outre les sculptures évoquées, un ensemble de peintures, dessins et gravures d'arbres, en particulier le châtaignier, avec de nombreux inédits.Tiens ! Tiens ! Y aurait-il eu déjà, un lien avec la transition écologique? Y voyais-je, (pressentiment ? / prémonition.../ allez donc savoir)... de l'Humain certes, et pensais-je alors, aussi au piégeage du Co 2 dans le carbone ?! Allez donc savoir. En tout cas, sachez que ce choix n'est pas fortuit, dans la période que nous traversons. Donner du sens. Merci mes amis châtaigniers ! Qui furent montrés, chez B. Lubat, à l’Université Tlse Mirail ( en 1984...!) Voir en pièce jointe : Brianti , l'arbre au corps...
Il y a eu projections de films : R. Sangla, Jacky Tujague... Et plus, car nous évoquons aussi la peinture en 3D, installée depuis plusieurs années...dans un salon de cette structure de type Hôtel Ecolo-Logis :« Le pastiche de Vertumme et Pomone...du Pontormo, œuvre montrée à Florence et à Toulouse ( musée des Augustins). Il s'agit d'une pièce grand format! Un soir de juin, nous en firent une / Aire de lancement symbolique de l'écriture (déjà entamée) d'un prochain ouvrage, suite logique de cette autobiographie, parue récemment ; pourquoi est-il possible, convenable, ou irraisonnable, ou lors de telles rencontres imprévisibles...de penser à Pontormo/Caravage/Goya/Picasso,Velasquezbien d'autres...JeanHélion, mon ami Bessompierre... ? Merci à Denis Milhaud, Daniel Arasse et quelques autres, amis, ou confidents, d'avoir su m'entendre alors...dans ces années charnières qui vont être un possible ancrage de cet ouvrage en vue... moi peintre dit art moderne, j'ai réellement enclenché depuis Florence, une nouvelle manière de faire, de créer...de véhiculer mon travail, mon exercice ! Petit débat en perspective. Tarbes mai 2019 Enfin du 10 au 25 mai, j'ai répondu à l'invitation de la galerie OMNIBUS, rue Bertrand- Barrére à Tarbes, avec une proposition, un choix d’œuvres fait par l'animatrice et responsable du lieu Erika Breton : que des séries, inédites pour la plupart !!!. SURPRISE. Cette approche m'a séduit, le choix envisagé aussi ! Galerie Associative qui vient de fêter ses dix années de présence à Tarbes. >Consultez donc l'ouvrage édité à cette occasion ! Présence courageuse et tenace ! Preuve que l'on peut vivre, survivre auprès de mastodontes formatés, tel est mon sentiment. Il y a eu une « conversation, une présentation de mon parcours fait par Erika, à l'Université du Temps libre à Tarbes/.Ce dialogue a été enregistré/ Une suite à donner ? Peut-être... Un peu d'émotion de ma part dans ce lieu, avec une pensée pour Edmond Lay et son architecture, si transparente. Je n'étais pas revenu dans le site depuis longtemps. Une idée m'a traversé. Mes sculptures éphémères/ papiers, se trouveraient à l'aise dans quelques coursives...de ce lieu. ! Une pensée à Sylvio aussi, qui avait posé « bagage » quelques temps dans cet espace. Juillet a été un mois actif, puisque j'ai mis en restauration une quinzaine d'empreintes » qui stagnaient dans mes coulisses... repérées par Philippe Piton-Moi lui disant qu'elles étaient jouables....ce fut facile, un peu long. Les apprivoiser et leur donner du sens fut une autre problématique ! Les compacter, les mettre en situation de pouvoir être en visibilité dans ce beau Parc ombragé et ses arbres refondés, fut un défi. Il s'agissait de création et non de re création/restauration. Le lieu fut inspirant et ordonnateur de cette série …une journée de « terrain avec l'aide de mes Hôtes, et de Jacky T. Il s'agissait de laisser le «sens en coulée immédiate ». d'aller à tout va, j'aime ces moments d'impro, il faut laisser couler plaisir, et petite fatigue qui va avec. Je rédige ce papier, cet après-midi je suis passé « impromptu dans le site, et je n'ai pas eu envie d'un seule retouche...je ne bouge pas un brin d'herbe à Rive Droite, en bords d'Arros à Villecomtal. Installation complétée par mes hôtes qui ont fait le choix d'une vingtaine d’œuvres prêtées pour l'été, et mises en présence des « passants ». Choix intuitif, perso. qui me rappela encore, combien les arts plastiques trouvent leur force bien souvent dans un lien, à travers un lien, qui pour moi représente bien parfois l'indicible communication, moteur mystérieux, provocateur bien souvent de l'envie renouvelée, celle qui vous ramène au prochain ouvrage, cet inconnu.
L'été, l'impromptue aux sommets fut celle qui prit racine à Germ, j'y ai déjà beaucoup vécu d'autres événements. Une communauté ouverte, faite d'habitants, de passants, de résidents, des non permanents, un point commun, respect du site, de comment l'habiter. Y vivre. Mais aussi un lieu vivant, vivant le contemporain à doses bien insufflées. Bref connaissant les lieux, cela fut aisé. Aisé ne veut pas dire que l'on va faire facile. Mes hôtes revenaient d'un séjour au Mexique, j'ai ré ouvert mes traces et autres empreintes de mon séjour d'artiste invité, dans deux universités...Mexico et Toluca.. en 1984. Les grands musées, les artistes mexicains rencontrés, les mayas, et Pascal le roi de Palenque...! Et j'ai tenté de faire re vivre ces traces, mises en catalogue par Sylvio, avec en mémoire dans ma tête, l'ouvrage que nous comptions mettre en place ! J'ai aimé l'idée de Franck, de dresser cette affiche éditée à Toulouse, pour « l'Odyssée espèce Dindon », série qui fit aussi voyage à Gran Canaria...musée « Art Contemporain de Las- Palmas, cette affiche une fois ressourcée, en supprimant notamment le logo (vous savez ce signe que l'on vous oblige de faire figurer, et qui bien souvent abime, altère l'ensemble.de l'image, désormais cette affiche figure sur le pignon de la Maison de Chez LIlY... Il finile est le lieu, et je pense à cet autre lieu AL fienile di Montesanto/Voghiera (ferrara) dans la plaine du PO, où je fis une expo. liée à un hommage à Sylvio en 2014. Ce lieu que j'ambitionne de re investir... tout va bien. Rencontre avec ces gens de partout...Je pense aussi à cette talentueuse jeune architecte espagnole Suzana Velasco qui invente des cabanes...et enseigne à Madrid cette architecture étrange... Mais pas que çà... bien plus que çà...on en reparlera…Pensées aussi à tous ces résidents qui nous accueillirent à Germ... et ses étonnants «f'' estivaliers », cotécour et cotéjardin ! où est le Centre ? Mais plus que ça.. Et pendant cette presque fin d'été, les œufs montent au ciel...,sans atteindre les étoiles.. Il n'y a pas si longtemps le grand poête Adonis nous avait fait la courte échelle pour y accéder , j'étais partant ! avec d'autres Serge Pey, Alem Surre, Garcia,nous n'épprouvions pas le besoin de s'avancer sur une balustrade ferraillé, pour connaître le vertige... et cela avec plein d'autres encore, depuis plus de 30 ans ! Il y en a beaucoup dans les pente de Germ, il sément ! Les étés ! Les étoiles nous sont si proches dans nos rêves, et utopies poétiques partagées, et pendant ce temps là, forme nouvelle d'un métro volant, sert de leurre à la voûte inaccessible, si proche cependant. Tuer l'imaginaire, il reviendra au galop. Moi pas peur à voir !............

Septembre 2019 : Enfin, et pour conclure ce chapitre, je vais faire parvenir ce document de propositions dites « impromptues », du moins renouveler ces propositions, nouvelles offres à faire, à divers partenaires disponibles. Cela peut donner envie, idées. à d'autres structures, ou individualités. Fort du bilan positif que je dresse en ce mois de septembre, à l’occasion notamment de la mise en place d l'Acte 5. Et qui concerne essentiellement mon petit parc... Il ne s'agit pas de « Land Art » çà y ressemble ? Nenni ! L'objet principal n'est pas là. De l'art d'utiliser les restes ? OUI/ Non ! Enfin les interroger.. Il s'agit toujours pour moi de valider ce que je nomme l'initiative d'artiste » Je peux vous dire qu'il va y avoir quelques expos. supplémentaires dans les Hautes-Pyrénées, démarrant cette manière en toute proximité.
Septembre 2019, fatigué certes par la mise en place de ces expositions si diverses, par les œuvres présentées, les sites, choisis, émanant de moi-même et d'hôtes me recevant, une unité s'est faite, qui peut se résumer au titre de « empreintez-vous, et nous » ! Les fondements de la transmission sont un peu là, une affiche datant de 1984, j'avais pensé cette affiche à l'époque, avec la contribution photographique de Géraud Barutel C'était au cours du chantier de préparation de l’exposition devant accompagner l’œuvre monumentale à l'Université de Tlse-Mirail. nous étions au milieu des dépouilles de tous ces corps moulés. au moulin, moulin/mouliné depuis ! Étrange mic/mac. en confronte aux corps enrésinés et colorés.Ces dépouilles qui ces dernières décennies « ont itninéré »en nomades rappel du vivant »...., dans des endroits divers, rues d'Avignon, Cité à Martigues, Miramas l’étang de Berre, mais aussi en pinèdes chez Bernard Lubat, à Assier, les sablières en pays toulousain etc. ! Le châtaignier en était le support principal, l'arbre portait l'humain. Nous battions les bois avec l'ami Jean Fontan....dans ses bois, il connaissait l'identité de chacun. je vais recentrer tous ces travaux, finir de remettre à jour ce Parc, qui dans un temps récent, fut un peu cafardeux, s’abîma, le ranimer par la présence de petits faits. Tout cela est visitable, peut-être une nocturne, la vie continue avec ses promesses, les tenues, les pas tenues, les intenables...vouloir aller jusqu'à son propre bout de route, c'est un bel objectif, s'y essayer c'est aussi bien que d'enfoncer des portes ouvertes... ! P.S. Je vais tenter de regrouper quelques images de ces événements dits impromptus. Patience, tenez vous aux aguets/ blog et site ! À bientôt à Pouzac....

Ce dimanche 6 octobre / Hier au salon du livre à Gerde nombreux sont le amis, et quelques autres... qui m'étaient inconnus qui m'ont dit / : “Ou en est la donation à la ville de Bagnères de Bigorre... !“ : ma réponse fut constante - « Ce soir je suis dans la mémoire ravivée... et merci aux acteurs du Salon, l'équipe en place actuelle, et tous, d'avoir rendu hommage aux cofondateurs de cet événement : Stéphane Levéque et Sylvio Brianti /Si j'ai évoqué cette »remontada »que je mène en ce moment/ Affaires personnelles délicates certes, mais aussi et surtout, ce débat que j'ouvre sur les « collections », Rapport à ce mot tant et tant cité: le Patrimoine ! j'ai en attente le titre d'un paragraphe en gestation,... tout cela en lien avec cette idée de la fortune critique. . , problème posé par d'autres, sujet qui me préoccupe présntement et que je mets en surface....'Je n'ai pas répondu à la question qui me fut faite ? Patience,
- ce que je peux écrire ce 6 octobre au petit matin : »
c'est que je ne me suis pasr retiré !
Mais reste attentif.. voir des ailleurs ? Possible, mais dans mes initiatives du momentcar le choix de BdB. Était motivé ! Il le reste. À suivre, on en reparle ! On se parle. Je reçois des avis sur ce pt. Cela peut m'aider.

Jacques Brianti